Lors de la 5e édition de Thèsez-vous?, Alex Bourque, étudiant à la maitrise en sciences de l'activité physique (Université de Sherbrooke) a généreusement partagé quelques conseils visant à faciliter la pratique de la pleine conscience. Voici quelques éléments issus de sa présentation. Dans le cadre des retraites Thèsez-Vous ?, les meilleures conditions sont offertes pour rédiger de manière efficace. Malgré ce contexte idéal, il n’en demeure pas moins qu’une personne doit être attentive sur de longues périodes. Pour améliorer la qualité de cette attention, la pratique de la pleine conscience est possible, de manière formelle en méditant ou en pratiquant le yoga, ou de manière informelle, par exemple en marchant ! La pleine conscience consiste à porter son attention dans le moment présent sans jugement. Ainsi, même lorsque des situations difficiles se présentent, on porte une présence attentive à ce qui se passe, dans le "ici et maintenant". Pourquoi pratiquer la pleine conscience ? Plusieurs études illustrent que la pratique régulière de la pleine conscience offre une multitude de bénéfices. Voici quelques exemples: Bien-être global
Capacités physiques
Santé mentale
Comment pratiquer la pleine conscience ? Pour pouvoir bénéficier des effets de la pleine conscience, il faut bien sûr pratiquer ! Deux types de pratiques sont possibles :
Ainsi, la pratique formelle englobe aux exercices qui favorisent explicitement la pratique de la pleine conscience dans ses directives. Lorsque l’on parle de pratique informelle, il s’agit plutôt d’exécuter les activités quotidiennes en étant pleinement conscient. Par exemple, lorsque vous prenez votre douche, tenez compte de la sensation de l’eau sur votre corps plutôt que de penser au conflit que vous avez avec votre direction ou alors à la prochaine date de tombée qui approche dangereusement. Et maintenant? Pourquoi ne pas prendre quelques minutes pour tenter l'expérience! Dès aujourd'hui en trottant jusqu'à la bibliothèque, ou alors en groupe, lors d'une séance de rédaction ou de la prochaine retraite Thèsez-vous?. Billet rédigé par Alex Bourque, étudiant à la maîtrise en science de l’activité physique à l’Université de Sherbrooke. Son mémoire porte sur les effets d'un programme de pratique de la pleine conscience sur le niveau de fatigue, d’anxiété et de la qualité de vie de personnes atteintes de la sclérose en plaques.
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Voici un aperçu des conférencières qui se joindront à nous lors de la retraite Thèsez-vous? du 23 au 25 mai 2016 au Manoir du Lac Delage près de Québec. ATELIER 1 : Cet atelier présente des pistes pour le transfert de connaissances issues d’un mémoire ou d’une thèse. En plus de présenter des principes généraux liés au transfert de connaissances, la conférencière accompagnera sa présentation d’exemples concrets pour appuyer les idées qu’elle partagera. Animé par Josianne Caron, doctorante en éducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Elle accompagne un groupe de codéveloppement professionnel composé d’enseignantes associées du primaire. Ses travaux de recherche se situent dans la sphère de l’utilisation de connaissances issues de la recherche par des praticiens dans leurs pratiques d’encadrement réflexif du stagiaire. Ses expériences de rédaction liées à son travail de chercheure l’ont amenée à corédiger avec une praticienne et une étudiante. ATELIER 2 : Lors de la 2e édition de Thèsez-vous?, Geneviève Belleville a généreusement partagé ses recommandations pour faire de la rédaction une priorité. Elle récidive lors de la 6e édition en abordant les trucs et astuces pour rédiger mieux et, surtout, de façon plus productive. Animé par Geneviève Belleville, est professeure-chercheure à l’Université Laval et auteure du (fameux) livre Assieds-toi et écris ta thèse!. Avant de rejoindre l’École de psychologie de l'Université Laval, elle a obtenu son doctorat (Ph. D.) en psychologie avec orientation clinique de l’Université Laval. Ses intérêts de recherche et cliniques portent sur les troubles anxieux, les troubles de l’humeur et les problèmes de sommeil. Lors de la 3e édition de Thèsez-vous?, Simon Collin, professeur-chercheur (UQAM), auteur des chapitres de sa thèse (!) et de nombreux articles scientifiques, a généreusement partagé quelques conseils visant à faciliter la rédaction d'un chapitre de mémoire ou de thèse. En voici quelques-uns! Tâche inévitable: dresser le plan détaillé de votre chapitre. Essayez de donner un titre à chacune des idées que vous souhaitez aborder. Ce titre pourra ensuite servir lors de la phase de révision, afin de vous assurer que l’argumentaire est bien ficelé. Il est préférable de n'aborder qu’une seule idée par paragraphe. Aidez-vous en annotant chacune de ces idées à l’aide de la fonction "Suivi de commentaires". Si jamais plus d’une idée est associée au même paragraphe, n’hésitez pas à le scinder. Votre texte sera ainsi plus facile à lire. À ce sujet, gardez en tête qu'il n'est pas suffisant de nommer cette idée, il faut plutôt la faire comprendre au lecteur. Rédigez sans vous arrêter. N'attendez pas l’inspiration ou la phrase parfaite. Il n'y a rien de mal à mettre entre parenthèses les références à trouver, surligner les éléments de forme à peaufiner, inscrire d'une autre couleur les idées à développer ou valider dans un second temps, etc. Tolérez l’imprécision et l’inexactitude au fil de la rédaction, vous aurez l'occasion d'y revenir. Coupez votre texte de manière à mettre en exergue le "fil rouge" du chapitre. Demandez-vous toujours si la coupe du texte affecte le sens du texte. Sachez éliminer les idées secondaires qui n’affectent pas le sens, ne conservez que les idées primaires. Enfin, lorsque vous frappez un mur, n’hésitez pas à retourner aux lectures, à prendre de la distance et à discuter avec des collègues. Cette pause de rédaction vous donnera l’occasion de vous ressourcer pour y remettre en force un peu plus tard. Et avant de vous laisser retourner à la rédaction de votre prochain chapitre, gardez en tête que l’écriture, c’est 90% de travail et 10% d’inspiration ! Il est donc surtout question de «persévérer, persévérer, persévérer » (Cossette, 2009, p.97). Billet rédigé par Émilie Tremblay-Wragg., Co-fondatrice de Thèsez-vous? Candidate au doctorat en sciences de l'éducation à l'Université du Québec à Montréal à partir de l'atelier animé par Simon Collin, professeur à l'UQAM, lors de la 3e édition de Thèsez-vous? Voici un aperçu des invité.e.s qui se joindront à nous lors de la retraite Thèsez-vous? du 1er au 3 avril 2016 au Couvent Val Morin. ATELIER 1 : Il y a toutes sortes de bonnes raisons pour planifier un écrit scientifique avant de commencer à l’écrire. L’une d’entre elles est qu’un bon écrit s’organise autour d’un fil narratif bien choisi. Une thèse captivante contiendra toujours une histoire qui relie les éléments, leur donne un ordre et en renforce la signification. Ainsi, ce premier atelier vise à discuter de cette trame narrative et des éléments requis pour raconter une "bonne histoire" au fil de son mémoire, de sa thèse ou de toute production scientifique d'envergure. Animé par Nadine Forget Dubois, Ph.D. travaille à l'Université Laval à titre de coordonnatrice du Groupe de recherche sur l'inadaptation psychosociale chez l'enfant. Elle est également l'auteure du blogue La plume scientifique qui porte sur l'art d'écrire la science, en plus de contribuer au blogue Thèsez-vous?. Son livre, Écrire un article scientifique en anglais: guide de rédaction dans la langue de Darwin devrait arriver dans les librairies universitaires francophones du Québec sous peu. ATELIER 2 : Comment poursuivre ses bonnes habitudes de rédaction après une retraite d’écriture? Suite à l’expérience d’un groupe de rédaction de thèse actif depuis deux ans, une doctorante et une psychologue en soutien à l’apprentissage vous feront part de leurs conseils, des aspects techniques (par exemple, des outils de structuration de la pensée) à ce qui a été le plus utile pour rédiger. Elles vous présenteront également quels sont les bénéfices et avantages du travail en groupe de rédaction, des conditions pour son maintien et des pièges à éviter dans un groupe de rédaction, une expérience motivante et facile à mettre sur pied! Animé par Josée Sabourin, psychologue au Centre étudiant de soutien à la réussite de l’Université de Montréal, se spécialise en soutien à l’apprentissage. En plus d‘offrir ces services à l‘ensemble des étudiants et étudiantes sur le campus, elle a développé une expertise auprès de ceux et celles qui sont en période de rédaction : elle les accompagne en consultation individuelle, anime des ateliers sur la rédaction aux études supérieures et met sur pied des groupes de rédaction en collaboration avec des doctorants et doctorantes. Et Bibiana Pulido, doctorante en relations industrielles à l’Université de Montréal. Bibiana s’intéresse à la gestion des connaissances dans les clusters du jeu vidéo québécois et suédois. Depuis le début de sa rédaction de thèse, elle participe dans un groupe de rédaction qui la stimule et qui l’aide à franchir les différentes étapes de sa recherche doctorale. Elle aime partager les clés du succès ainsi que les pièges à éviter dans ce processus de longue haleine! En plus des deux ateliers, les conférencières offriront un soutien individualisé lors des deux dernières journées de la retraite. Les participant.e.s pourront aborder de questionnements spécifiques lors d'une rencontre individuelle d'une vingtaine de minutes, sur rendez-vous. Billet rédigé par Sara Mathieu-C., Co-fondatrice de Thèsez-vous?
Candidate au doctorat en psychopédagogie à l'Université de Montréal Voici un aperçu des invité.e.s qui se joindront à nous lors de la retraite Thèsez-vous? du 15 au 17 mars 2016. ATELIER 1 : Cet atelier présente des trucs et astuces pour faciliter la rédaction d'un paragraphe ou d'un chapitre de mémoire ou de thèse. En plus de présenter des principes généraux liés à la rédaction scientifique, le conférencier accompagnera sa présentation d'exemples concrets (phrases, liaisons, connecteurs idéaux) pour appuyer ses idées. Animé par Simon Collin, M.Sc.,Ph.D., professeur en didactique du français langue seconde à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Il est également directeur du Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante - Université du Québec (CRIFPE-UQ). Ses travaux de recherche portent sur le rapport entre les technologies, la culture et la société en éducation. Ses expériences de rédaction liées à son travail de chercheur l'ont amené à rédiger plusieurs écrits scientifiques dans les dernières années, ce qui guidera le contenu de son atelier. ATELIER 2 : Lors de l'atelier offert par Sylvie Labelle, les participants auront l'occasion de réfléchir à la façon dont ils établissent leurs priorités dans le contexte où la rédaction d'un mémoire ou d'une thèse s'étend sur plusieurs mois. La conférencière abordera les défis propres à la gestion de temps et des outils pour y faire face. Animé par Sylvie Labelle, PCC (ICF), expérimentée en coaching intra et interpersonnel, en coaching de carrière, d'équipe et de gestion. Elle détient une maitrise en administration des affaires (HEC) et un doctorat en leadership créatif (UdeM), en plus d'un certificat en coaching professionnel et personnel (Concordia). Elle est présidente de CFI Syllab inc. et associés, un cabinet-conseil qui se spécialise dans le coaching en leadership, en innovation et en développement créatif. En plus des deux ateliers, Élise L.-LeMoyne et Simon Collin offriront un soutien individualisé lors de la deuxième journée de la retraite. Les participant.e.s pourront aborder de questionnements spécifiques lors d'une rencontre individuelle d'une vingtaine de minutes, sur rendez-vous. Élise L-LeMoyne, Ph.D., est chercheure post-doctorale au Tech3Lab (HEC) et nouvellement membre de l'équipe organisatrice des retraites Thèsez-vous?.Depuis le dépôt de sa thèse sur les Effets de l'activité physique durant la grossesse sur le cerveau de la mère et de l'enfant, elle contribue à des projets de recherche à la croisée des neurosciences et des sciences de la gestion, notamment sur le potentiel du bureau actif sur la mémoire et la performance. Billet rédigé par Sara Mathieu-C., Co-fondatrice de Thèsez-vous?
Candidate au doctorat en psychopédagogie à l'Université de Montréal C’est un fait, la présence en ligne des chercheur-e-s s’impose de plus en plus comme un enjeu professionnel. Les supports sont multiples : réseaux sociaux (Twitter, Facebook, etc.), plateforme spécialisées (Academia, Research Gate, etc.) ou pages personnelles sur les sites d’université. Dans ce paysage diversifié, quelle peut être l’intérêt d’un blogue de recherche ? Gabriel Girard, sociologue de la santé, anime un blogue autour de ses recherches depuis près de 4 ans. Il est intervenu à ce sujet lors de la retraite Thèsez-vous ? et nous apporte ici quelques éclairages issus de son expérience. Trouver sa place Avant de lancer un blogue, il y a quelques questions clés à se poser ! La première question serait sans doute : qu’est-ce que j’ai à dire/à partager ? S’agit-il de rendre compte de ses activités (conférences, articles) ? De garder le lien avec son terrain d’enquête ? Ou proposer des éclairages scientifiques sur l’actualité d’un domaine ? Ou les trois à la fois ? En terme de thématique, il est souvent recommandé de faire des choix, pour éviter un blogue trop éclectique qui peut avoir un effet repoussoir pour les lecteurs ! L’opportunité de se lancer dépend évidemment du moment dans son parcours académique : au début de la thèse on peut se sentir moins légitime ; à d’autres moments, on est tout simplement trop pris dans l’analyse des données pour communiquer publiquement sur son blogue ! Pour ma part, j’ai lancé mon blogue au début du post-doc : c’est le moment où je me sentais le plus le besoin de partager tout ce que j’avais accumulé dans la thèse. On doit ensuite penser à son lectorat potentiel. Cela détermine en effet le style d’écriture, et le niveau de « vulgarisation » souhaitable. Le lectorat visé influence aussi le choix de la forme des textes : articles, compte-rendu de conférence, billets d’humeur ou vidéos, par exemple ! La rédaction d’un blogue de recherche pose également la question de la fréquence des publications. Trop de publications dès le départ, et on risque de lasser ses lecteurs… et surtout d’épuiser le rédacteur ! À l’inverse, un blogue non mis à jour depuis un an ne renvoie rien de dynamique. Dans ce domaine, il faut privilégier la régularité : un article/billet par mois, ou aux 15 jours (cela dépend de chacun). L’essentiel est de trouver son rythme ! Lancer un blogue peut aussi être l’occasion de s’interroger sur les collaborations possibles: par exemple un blogue collectif permet de maintenir un bon rythme de publication, mais aussi de se faire relire et de construire des liens intellectuels. Assieds-toi et écris… ton billet de blogue ! Les blogues de recherches et les réseaux sociaux souffrent d’un préjugé répandu dans le monde académique : ils seraient, avant tout, des prétextes à la procrastination. Je vais essayer de vous montrer qu’on peut envisager les choses autrement ! D’abord, l’animation d’un blogue de recherche de recherche est (aussi) à considérer comme un exercice d’écriture scientifique. Comme pour tout autre texte ou article, il est donc souhaitable de se donner des objectifs réalistes et compatibles avec le reste de son agenda. À l’usage, on apprend vite à évaluer combien de temps prend la rédaction d’un billet, et on peut positionner ce travail dans son emploi du temps déjà chargé. Trouver la bonne fréquence des publications prend ici tout son sens : viser deux billets par semaine peut devenir vite très contraignant et décourageant ! Contrairement à ce qu’on pourrait imaginer, la présence sur les réseaux sociaux peut aussi être une source d’inspiration ! Lire un tweet peut donner une idée de billet de blogue, qui peut à son tour nourrir l’écriture d’un article scientifique : le blogue peut ainsi participer d’un processus d’écriture dynamique. L’écriture de blogue permet aussi d’être plus créatif, et d’échapper aux contraintes strictes de l’écriture académique. Cela ne signifie pas qu’on peut écrire n’importe quoi ! Mais on peut, par exemple, laisser libre cours à des intuitions, à des réflexions encore peu élaborées, ou proposer d’autres supports (photos, vidéos). Dans tous les cas, le blogue est une bonne manière de tester des idées nouvelles ! Le blogue comme outil professionnel Excellent exercice d’écriture en soi, le blogue est aussi un très bon outil de professionnalisation ! Sur le volet du transfert de connaissance, ouvrir un blogue permet de rester en contact avec son terrain. Les participants de l’enquête peuvent par exemple y suivre les développements de la recherche, être informés des conférences à venir ou des publications. L’écriture de blogue participe aussi d’un travail de transparence, en montrant ce qu’on peut faire avec des données de recherche. S’il y a une section commentaires sous les articles, cela permet de recueillir les avis des lecteurs, et d’avoir ainsi un feedback sur certaines analyses. Le blogue peut également servir comme un outil d’intervention sur des sujets d’actualité, en réagissant à une nouvelle ou à un article de presse sur un sujet d’intérêt. Une manière intéressante de contribuer au dialogue entre science et société ! Pour ma part, j’ai reçu plusieurs sollicitations de journalistes à travers mon blogue. Pour terminer, l’animation d’un blogue est un bon moyen de se faire connaître professionnellement, auprès de ses collègues chercheurs, mais aussi auprès d’autres acteurs très divers. C’est un peu comme un « super CV », d’où l’importance de soigner l’apparence, le style et l’orthographe ! Vous l’aurez compris, l’écriture d’un blogue s’inscrit très bien dans une activité de recherche ! Les possibilités de collaborations sont multiples et c’est un vrai « plus » en terme de professionnalisation. Reste que se lancer peut être un peu stressant. Prendre le temps de consulter les nombreux exemples en ligne permet de mieux se situer et de dédramatiser l’exercice ! Ce billet est rédigé par Gabriel Girard, blogueur invité.. Du 8 au 10 décembre, nous étions 40 candidat.e.s à la maitrise et au doctorat, réuni.e.s au chaleureux Couvent Val Morin dans le cadre de Thèsez-vous?. Cette 2e édition a rassemblé des étudiant.e.s de six universités à travers le Québec, sans compter un thésard venu directement de Paris pour se joindre à nous! De la politique du Nicaragua à l'intimidation dans le sport, en passant par l'utilisation de l'humour en entreprise, les objets de recherche étaient aussi variés que passionnants. Une fois de plus, Thèsez-vous? fut l'occasion de constater la qualité et la pertinence des projets menés par les chercheur.e.s de demain. Les discussions parsemées au fil d'une telle retraite, notamment lors des repas et des moments de ressourcement, sont synonymes de découvertes et de solidarité. Le silence est éloquent lors de la rédaction, mais les moments de partage sont bruyants, alors qu'on y entend parler d'obstacles et de défis, de pistes de solution et de ressources propres à l'écriture scientifique. Il semble que ce soit 'une conséquence inévitable des retraites Thèsez-vous?, ce sentiment d'appartenir à un groupe qui nous ressemble, malgré les cloisons institutionnelles et les barrières disciplinaires. C'est rassurant! Il faut également souligner la contribution de nos précieux collaborateurs, collaboratrices. Noémie Turcotte nous a offert des séances matinales de yoga stimulantes, alors que les visites de Gabriel Girard, Mirela Moldoveanu et Geneviève Belleville ont permis de discuter de certaines facettes de la rédaction académique: de la rédaction d'un blogue à la terrible procrastination. Nous avons déjà hâte à la prochaine retraite, dont les dates seront annoncées sous peu sur notre site Internet, sur Facebook et via notre infolettre. D'ici là, des réflexions et des ressources seront partagées avec la Communauté Thèsez-vous? sur ce blogue. Restez connecté.e.s pour suivre l'évolution du projet et n'hésitez pas à nous contacter pour contribuer à la discussion et pour partager vos ressources avec d'autres étudiant.e.s qui font face aux mêmes défis de rédaction! Billet rédigé par Sara Mathieu-C., Co-fondatrice de Thèsez-vous? Candidate au doctorat en psychopédagogie à l'Université de Montréal Voici un aperçu des invité.e.s qui se joindront à nous lors de la retraite Thèsez-vous? du 8-10 décembre 2015. Geneviève Belleville (PhD), professeure à l'Université Laval et auteure de Assieds-toi et écris ta thèse!, animera un atelier sur les obstacles à la rédaction d'un mémoire ou d'une thèse et partagera ses recommandations pour les surpasser. Gabriel Girard (PhD), sociologue et chercheur impliqué dans la valorisation des savoirs communautaires, discutera de la pertinence de tenir un blogue de recherche, du temps que cela implique et des opportunités que cela peu provoquer. Consultez son blogue! Mirela Moldoveanu (PhD), professeure à l'Université du Québec à Montréal, offrira un soutien individualisé aux participant.e.s qui souhaitent être conseillé.e.s par rapport à des difficultés particulières vécues lors de la rédaction de leur mémoire ou de leur thèse. Trois angles complémentaires pour discuter de rédaction académique, ça promet! Billet rédigé par Sara Mathieu-C., Co-fondatrice de Thèsez-vous? Candidate au doctorat en psychopédagogie à l'Université de Montréal Nous sommes très heureux d'annoncer qu'un des ateliers proposés lors du prochain Thèsez-vous? sera animé par Geneviève Belleville, auteure de livre "Assieds-toi et écris ta thèse! - Trucs et pratiques motivationnels" Résumé du livre: La rédaction scientifique est l’entreprise la plus intimidante, décourageante et anxiogène de l’expérience universitaire. Lorsque vient le temps d’écrire, tout devient plus intéressant : les courriels – même les plus insignifiants pourriels –, les appels que l’on retarde depuis toujours, le ménage et même le changement de litière du chat. Comment peut-on arriver à écrire, alors ? Et, surtout, comment peut-on arriver à le faire sans que la rédaction projette constamment cette aura de torture ou de pire corvée du monde ? Peut-on arrêter de se soumettre à contrecœur aux activités de rédaction et simplement retrouver l’envie d’écrire ? Voilà les questions abordées dans cet ouvrage. Pour plus d'information sur l'inscription à la prochaine retraite, c'est par ici! #Thèsez_vous #Onrédige #PhDAcadémie (source: www.pulaval.com/produit/assieds-toi-et-ecris-ta-these-trucs-pratiques-et-motivationnels) |
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