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Les enjeux de la rédaction et de la vie académique par les membres de la communauté Thèsez-vous

L’édition ParenThèse : une retraite rédactionnelle avec… bébé

6/9/2016

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Le coup de pied post-partum
Une maitrise, une fin de doctorat et deux enfants plus tard, j’avais sérieusement besoin de me ressourcer. Janvier 2016 arrivé, mon congé de maternité prenait fin. Oui, j’avais fait ma collecte de données durant ma grossesse, mais il s’était tout de même écoulé un an entre la collecte et le retour à la planche à dessin, comme on dit. J’ai commencé mollo en traitant mes données. Après le traitement, l’heure était à la planification de la rédaction et, il faut se le dire, à la RÉ-DAC-TION.
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Salle commune à Jouvence, devenue une salle de rédaction et de jeux!

​Bébé + rédaction = Parent-thèse
Devant cette mer de données, par où commencer? Quoi sélectionner? Selon quel cadre d’analyse? Comment présenter les résultats? Autant de questions, autant de cheveux blancs…. Pas besoin de vous dire qu’une retraite de rédaction était bienvenue. Une retraite avec d’autres étudiants, je savais que c’était possible, de par la renommée de l’organisme Thèsez-vous ?. Mais, une retraite qui allait me permettre de rédiger et d’être auprès de ma plus jeune! Pourquoi pas? La 5e édition de Thèsez-vous ? (Parent-thèse) s’est annoncée. J’ai rapidement sauté sur l’occasion et même proposé LA mamie qui allait garder ma petite et les enfants des autres qui allaient oser concilier rédaction et maternité.
 
L’accueil de la marmaille qui débarque
Les deux-trois heures de route en direction du Centre de villégiature Jouvence en valaient la peine. Dès mon arrivée, les bénévoles de l’organisation étaient plus qu’attentifs à mes dizaines de demandes spéciales. J’ai aussi senti que les autres étudiants étaient ouverts au fait que certaines débarquent avec la marmaille 0-2 ans et des sacs de bébelles. On nous a offert un local de rédaction attenant à une aire de jeux pour tout-petits. De là, on pouvait déjà entreprendre notre première période de rédaction tout en entendant nos chéris faire connaissance dans un langage en émergence.
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Les deux côtés de la  médaille
Malgré des tonnes de bagages, des siestes ratées, de courtes nuits, j’en reviens avec une ébauche de chapitre 4.  C’est une ébauche accompagnée d’innombrables questions pour mon comité de recherche. Au-delà de mes attentes initiales! 

​La structure de 
Thèsez-vous ? y était pour quelque chose. Le yoga matinal activait mes neurones. Les bons plats de l’auberge me donnaient plus que le nécessaire pour entamer ma journée. Les ateliers sur les objectifs de rédaction, l’écriture scientifique et la pleine conscience alimentaient mes réflexions et nourrissaient ma motivation. Enfin, les périodes de rédaction, bien balancées, m’aidaient à me mettre au travail.
 
Merci au comité ainsi qu’à belle-maman Élizabeth qui a chéri les petits pendant que les mamans travaillaient. Merci aussi à tous les étudiants qui ont accepté avec le sourire d’entendre crier, babiller, pleurer, jouer, s’exclamer, rire ET pendant les repas ET au petit matin… ​

Billet rédigé par Josianne Carone, doctorante en éducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Elle accompagne un groupe de codéveloppement professionnel composé d’enseignantes associées du primaire. Ses travaux de recherche se situent dans la sphère de l’utilisation de connaissances issues de la recherche par des praticiens dans leurs pratiques d’encadrement réflexif du stagiaire.
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ParenThèse: Deux mamans au doctorat partagent leur réalité

3/11/2016

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Le saviez-vous? La 5e édition de Thèsez-vous? prévoit une ParenThèse : pour la première fois, les enfants âgés de 0 à 2 ans sont les bienvenus et un service de gardiennage est offert lors des périodes de rédaction.
​

Dans ce contexte, on en profite pour vous partager le témoignage de deux bloggeuses invitées, doctorantes et mamans : Stéphanie Lanctot et Elisabeth Boily. 
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​UN SAUT DANS L'AGENDA DE STÉPHANIE
Mère de deux enfants d’âge préscolaire, doctorante en éducation et apprentie chercheure engagée, je suis fière de ce que j’accomplis chaque jour. Cela n’est évidemment pas toujours simple. Voici un petit saut dans ce que j’appelle affectueusement ma folie quotidienne!

Premier quart de travail : Parent
6 h 23 : Ce matin, comme bien d’autres, mon cadran ne sonnera pas. Ma fille prend le relai depuis quatre ans, secondée de son frère cadet. Le temps d’un café, d’un gobelet de lait, on se réveille lentement collés sur le sofa. Moment d’accalmie avant la tempête et puis, hop, c’est parti! Déjeuner, habillage, obstination, je dépose mes enfants à la garderie et reviens chez moi, dans ce doux chaos laissé par une famille trop pressée.

Deuxième quart de travail : Travailleuse/étudiante
8 h 31 : [soupir] Ma boite de courriels me rappelle des notions lointaines de génération spontanée. Une demande de subvention, un travail d’équipe, une recension des écrits, un doodle, un appel à communications, un rappel pour un article à rédiger, des demandes d’explication d’étudiants… Comment en suis-je venue à être si occupée?
14 h 9 : Oups… j’ai oublié de diner. Vite, un plat réchauffé.
16 h 27 : [soupir] Je n’ai pas terminé tout ce que j’avais planifié… Go! Mes enfants m’attendent!

Troisième quart de travail : Parent
16 h 45 : De retour à la maison avec mes héritiers, me voilà propulsée dans un triathlon. Première épreuve : occuper les enfants tout en préparant le souper. Deuxième épreuve : nourrir minidictateur et fine épicurienne tout en restant calme. Troisième épreuve : retourner bosser.

Quatrième quart de travail : Travailleuse/étudiante
20 h 10 : Dernier sprint intellectuel.

Cinquième quart de travail : Qui déjà?
Heure indéterminée : Je ferme mon portable et monte à ma chambre. J’enlève un à un les chapeaux portés pendant la journée et les accroche sur leur support respectif : maman, étudiante, travailleuse. Il m’arrive d’en garder un plus longtemps que les autres, le temps de laisser passer une angoisse ou un remord. Dans ces moments, j’essaie d’identifier ce que j’ai fait de bien dans la journée (qui d’autre le fera sinon?) et de me rappeler un objectif important à mes yeux : être, pour mes enfants, un exemple de détermination et de réussite. 

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LA SOLUTION D’ÉLISABETH: ÉCRIRE
SA THÈSE EN 45 MINUTES PAR JOUR ​

​La rédaction d’une thèse de doctorat n’est pas réputée pour être une tâche facile.  L’arrivée d’un nouveau-né dans la vie d’un parent amène également son lot de nouvelles responsabilités. Comment faire pour conjuguer les deux?

Sans avoir de réponse claire ni de recette parfaite, voici quelques réflexions qui ont émergées dans les 8 derniers mois… Rédiger une thèse avec un bébé est un projet exigeant, mais à mon sens, tout-à-fait réalisable et je dirais même qu’il a été bénéfique pour moi! Le premier apport est que cet évènement m’a permis de prendre du recul. Comme j’ai pris un temps d’arrêt complet de trois mois à la naissance de mon fils, je suis revenue avec une tout autre perspective sur mon projet de recherche. Les longues périodes d’allaitement répétées des premiers mois m’ont permis de faire le vide, mais aussi de réfléchir en profondeur à mes objectifs de recherche. Je suis certaine que mon projet de doctorat a grandement été bonifié par cette période de recul et de réflexion.
​
Après cette période de pause (cruciale je le répète!), je me suis remise progressivement à reprendre le travail. Ces séances sont évidemment courtes, mais très productives. Même si chaque bébé est différent, voici quelques trucs développés au fil des mois :
​
  • Constance, constance, constance! J’ai choisi de travailler un peu chaque jour sur ma thèse plutôt que d’attendre le bloc de 3 heures qui se présente très rarement. Je trouve qu’il est beaucoup plus facile de m’y remettre et ma motivation demeure intacte.
  • Être bien planifiée. Je me suis établi une planification mensuelle, hebdomadaire et quotidienne. Ainsi, j’ai une vision à long terme de ce que je dois réaliser, mais au quotidien, mes objectifs sont simples et réalistes. Par exemple, un objectif quotidien peut être de lire un article ou d’écrire un paragraphe de ma problématique.
  • Optimiser les siestes. Évidemment, le moment de la sieste apparait comme le moment idéal pour travailler sur sa thèse. Comme les siestes de mon bébé sont plutôt courtes, je tente d’optimiser cette période. Avant de coucher bébé, je prépare mes documents et j’ouvre mon ordinateur. J’élimine tout ce qui me distrait et je me plonge dans ma thèse. Pendant que le bébé dort, je privilégie les tâches de rédaction puisque ce sont celles qui exigent le plus de concentration.
  • Penser à des tâches à faire avec bébé. Il est faux de penser que ce sont tous les bébés qui font des siestes de trois heures tous les jours. Si j’avais attendu que ce soit les cas, je n’aurais toujours pas recommencé à travailler sur ma thèse. Comme mentionné, je profite le plus possible des siestes, mais j’accomplis certaines tâches en allaitant ou pendant que le bébé est occupé à jouer et à explorer, par exemple la recherche d’articles scientifiques ou le travail de mise en page. Si vous êtes du genre à vous bricoler des schémas conceptuels, cette tâche est facile à réaliser avec bébé à proximité.
  • Utilisez le support des proches pour avoir des blocs de travail plus longs. Le support des  proches, tels que conjoint, amis, grands-parents est évidemment essentiel. Même s’il est possible d’avancer le travail avec de courtes périodes, il est essentiel de se prévoir de plus longues périodes intensives de rédaction. À cet égard, j’essaie de me réserver des blocs de trois heures (entre deux boires) où quelqu’un s’occupe du bébé à 100%.  Cela me permet d’avancer de manière plus importante et c’est encourageant.

Pour finir, j’ai envie d’insister sur l’importance de ne pas se sentir coupable et de ne pas trop se mettre de pression! Lorsque je suis en train de jouer avec mon fils, je pourrais me sentir coupable de ne pas travailler sur ma thèse et l’inverse est aussi vrai. Cela devient un cycle infernal! J’essaie d’assumer et de profiter pleinement de ce que je suis en train de faire sans culpabilité, en me répétant qu’il y a un moment pour chaque chose. Les promenades en poussette, les randonnées en sac-à-dos, le ski de fond, les diners entre amies et surtout les siestes ont tout à fait leur place dans mon horaire! Après tout, ces moments de bonheur avec bébé ne repasseront pas deux fois et il faut savoir en profiter.

Vous êtes parent en rédaction?
N'hésitez pas à partager vos trucs, astuces, recommandations et ressources.
On espère vous rencontrer lors de notre première ParenThèse! 

Billet rédigé par deux blogueuses invitées: Élisabeth Boily (doctorat en éducation, UQAM) et 
​
Stéphanie Lanctôt (doctorat en éducation, Université de Sherbrooke). 
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Parent au doctorat: un joli casse-tête

2/4/2016

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Avec 4 enfants, je n'ai eu d'autres choix que de devenir la reine de la conciliation travail-étude-famille. Et même s'il s'agit souvent d'un casse-tête, cette réalité est devenue une source d'énergie et de fierté avec le temps. D'ailleurs, trop souvent, on n'entend que les difficultés de la réalité des parents-étudiants. Je vous propose donc, cette fois-ci, d'y dénicher un peu de positif! 

Avant mon admission au doctorat, je travaillais comme enseignante dans une école primaire. Je devais alors prendre congé pour amener mes enfants à des rendez-vous de toutes sortes, je ne pouvais commencer à préparer un repas santé avant 18h00, et ce, en prenant soin de faire étudier les mots de vocabulaire entre deux carottes à éplucher. Et lorsque je pouvais enfin m'assoir en silence, une pile de lavage se pointait le bout du nez!
 
Depuis que je suis au doctorat, ces tâches n'ont pas disparu par magie: la pile de lavage ne semble jamais descendre et la liste des mots de vocabulaire s'allonge d'une année à l'autre. Je peux toutefois accomplir nombreuses tâches au moment souhaité, entre deux paragraphes, une liberté que m’offrent les études supérieures dans la gestion de ma vie familiale. Et ça, ça n'a pas de prix! 

Je vous mentirais sans doute si j’omettais de dire que ma vie est très occupée et que la fatigue se fait souvent sentir. Ce qui est le plus difficile, c’est la culpabilité. Je me sens toujours coupable lorsque je dois rédiger le dimanche, alors que le reste de la famille s’amuse. Je relativise alors, en me rappelant que la plupart du temps, je passe des moments de qualité avec les enfants et que la rédaction d’une thèse ne se fait pas sans compromis. Cela dit, pour se sentir bien dans cette conciliation travail-étude-famille, il est nécessaire d'être réaliste et souple dans les délais qu’on se fixe en matière de rédaction. 
 
Me sentir motivée fait toute la différence. Dans la mesure du possible, je tente donc de prioriser des projets selon mes intérêts et selon mes affinités avec l'équipe de travail. Je dois aussi reconnaitre la présence d'un partenaire de vie et d'une famille très impliquée, qui m’appuie dans mes choix et qui s’occupe de la marmaille lorsque je suis en quête de savoir! Se sentir comprise et soutenue, du côté du boulot comme de la famille, m'apparait essentiel pour rester motivée. 
 
Enfin, je constate que, si je suis souvent débordée à force de vouloir faire tout de dont j'ai envie, il en ressort un bel équilibre intérieur. Les études me permettent d’avoir une activité intellectuelle qui m’apporte beaucoup et qui contribue à faire de moi une meilleure mère. C'est un joli casse-tête, qui me convient parfaitement! 

Signée, une maman aux mille et une responsabilités… 


​Billet rédigé par Émilie Tremblay-Wragg., Co-fondatrice de Thèsez-vous? 
Candidate au doctorat en sciences de l'éducation à l'Université du Québec à Montréal.
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